pour bande et orchestre de chambre (mvmts 1, 2, 4, 6)
Symphonie pour bande magnétique et orchestre de chambre. Œuvre dirigée par le compositeur. Traitée à la manière d'un journal, d'un reportage, cette pièce retrace le chemin, le vécu durant la période 1982/1985. Le fil conducteur est la relation avec la machine. Situation de : recherche sonore et approche, découvertes en dehors de l'habitude, relations avec l'instrument et les instrumentistes. La machine est ici principalement l'ordinateur qui non seulement réalise la synthèse, mais donne une direction formelle à l'œuvre. Ce journal, intime parfois, est destiné à raconter ce qui, pour un compositeur, un manipulateur de sons, un chercheur, est impossible à transmettre par la phrase littéraire. Ce n'est pas un roman, c'est une étude, une recherche… une création. Les mouvements 0, 3, 5, sont pour bande magnétique seule. Les mouvements 1, 2, 4, et 6 sont mixtes. L'articulation de l'œuvre est réalisée en synthèse numérique, sur la base d'une forme d'onde triangulaire (en FFT), grâce à un séquenceur polyphonique 16 voies. Une commande manuelle permettant de déterminer la courbe des hauteurs.
oeuvre@40551
générée par litk 0.600 le jeudi 22 septembre 2022.
Conception: DIM.