Un parterre de joie la jolie l’espace trapèze.
* Mécanique de la foudre *
Avant de devenir foudre la présence.
La jouissance se fait déjà sentir comme le sol arborant de venir,
toi-même respirant par l’os le devenu, la masse critique, le coup.
Une première trainée postillonnant un fardeau orageux…
qu’à travers la discorde qu’il y ait mission d’alliance;
en aspergeant de son essence vitale, de son liquide premier.
D’UN ION blondissant d’attaches fébriles expiant le foudroyant,
l’orage entendu mais mécompris répond de son son.
(si l’appaisement se fait à tendre,
ni grâce ni lasse n’entendent)
D’ailleurs, partir en coulées tremper le temps… abasourdir!
Foudre détonnante surprenant le présent, je t’admets l’abondance;
clapotis de silences.
L’eau-même porte en nous qui la transportons,
qui l’assaisonnons de nos humeurs multiples; puits.
Un liquide par fait d’écoute sinuant notre cycle en condensation
et en écoulement d’attraits.
Pierre d’eau, de mon cœur un coup de givre.
“Mécanique de la foudre” is the growth of a unique sound material — a metal-like crunch — being transformed in many different ways. I call “pico-tonality” the transformations the sound cell is going through where frequency and time are varied infinitely. Others sonic elements were introduced to achieve the “climatic globalism” I was looking for. This design of the piece was realized at the studio GES in Vierzon, France. The work was completed at the electroacoustic studios of Concordia University and Université de Montréal. It is dedicated to Francis Dhomont, without whom this piece would not exist.
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